Il écrit des textes rageurs, crus, secs, sans mise en scène, des dialogues simplifiés, des histoires immédiates en prise avec les errements du réel.
Ce brestois à la voix désabusée, entre Gainsbourg et Philippe Léotard, pourrait bien devenir le nouvel héraut d'un romantisme torturé et solitaire, résolument aux antipodes de la sophistication sirupeuse d'une certaine chanson française.